Ce jeudi 6 janvier, la Cour d’Appel du Tribunal de Paris m’a relaxé de toutes les poursuites engagées par Maxime Gauin à mon endroit et à celui d’Ara Toranian, directeur de publication des Nouvelles d’Arménie Magazine (NAMs). Confirmant point par point le jugement de première d’instance, la Cour d’Appel a également rejeté, au motif qu’elle n’était pas « sérieuse », la Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC) préalablement introduite par Maxime Gauin contre la loi de janvier 2001 par laquelle « La France reconnaît publiquement le génocide arménien de 1915 ». De l'avis général, faire tomber cette loi constitue le véritable objectif des procédures engagées par le plaignant et de la Turquie. A l’instar du jugement de première instance, et sous réserve de la lecture de la copie écrite du jugement, la Cour d’appel confirme donc qu’il n’est pas diffamatoire de considérer Maxime Gauin comme un « suppôt du pouvoir turc » et comme un « négationniste du génocide arménien », qual
Considérations inactuelles d'un bon Européen